Le compositeur toulousain Vincent A. Jockin vous invite à partager la musique classique d’hier et d’aujourd’hui en vous proposant un programme exceptionnel interprété par de grands musiciens…
Musiques de films, jazz, œuvres du répertoire et compositions originales continueront de répondre les unes aux autres. Duos, trios, quatuors, quintettes ou musiques d’ensemble alterneront afin de proposer une soirée riche et variée. Plus qu’un simple programme cohérent et équilibré, il s’agira d’une grande composition musicale qui mettra en lumière chacune des œuvres.
Notre ambition : partager la beauté de la musique dans ce qu’elle peut nous apporter de plaisir, d’émotion et même d’élévation.
Pour cette nouvelle édition, notre directeur artistique vous invitera à partager la musique classique d’hier et d’aujourd’hui en vous proposant un programme exceptionnel interprété par de grands musiciens de la région toulousaine et d’ailleurs :
Alice Szymanski, flûte & piccolo
David Minetti, clarinette & cor de basset
Benoît Hui, cor
Hugo Blacher, trompette
Arnaud Bonnet, violon I
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Anne Gallo-Selva, violon I
Pauline Kononovitch, violon I
Alain Masson, violon II
Charlotte Gaillard, violon II
Frédéric Pazio, violon II
Ophélie Renard, alto
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Pauline Guénichon, alto
Bastien Mercier, _violoncelle
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Lucile Gambini, _violoncelle
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Simon Lavernhe, contrebasse
Thibault Buchaillet, percussions
Vincent A. Jockin, piano
Né en 1976, à Toulouse, Vincent A. Jockin est compositeur depuis plus de 20 ans, et l’auteur d’une soixantaine de pièces pour formations diverses (orchestre, chœur, quatuor, piano, etc.).
Après la production de son premier album “Works, Volume 1” (juin 2012), et la création de nombreuses pièces en Europe (Royaume-Uni, Pays-Bas, Croatie, Slovénie, Bulgarie...) et dans le monde (États-Unis, Australie, Brésil...), il décide aujourd’hui de s’atteler à l’organisation de concerts...
Après avoir commencé l’étude du piano dans son très jeune âge, Stéphane Delplace continuera seul, sans maître, sans partition, à apprivoiser, en improvisant, la musique. A l’âge de dix-sept ans, il décide de s ’y consacrer pleinement, et, tout en étudiant le piano et l’orgue, commence à composer. La douleur née de la dissonance, la beauté du glissement, du frottement des lignes, des harmonies et des disharmonies qu’elles entretiennent entre elles ne laissent pas de le fasciner. [...]
Conforté dans l’idée que le langage tonal n’a pas épuisé ses possibi1ités, le compositeur recherchera alors toujours la force d’expression d’un langage clair, se gardant de sacrifier à un quelconque progressisme. [...] Quelques obsessions hantent ces œuvres, qui sont de véritables signatures de leur auteur : l’altération des degrés faibles, mis en relief comme si Delplace, sans sortir du système « solaire » tonal, voulait en explorer les planètes les plus reculées, ou comme s’il voulait visiter la « géographie de ces terres connues par cœur dont le sous-sol reste pourtant encore tant à exploiter ». Une autre question le retient : celle du thème, de l’idée originelle, d’où tout découle naturellement sans que le compositeur sache à l’avance où le mènera cette idée, que la conduite contrapuntique et harmonique prend elle-même en charge.
« Après avoir saisi une idée musicale, je n’ai plus qu’à me retirer, je laisse la matière artisanale et affective épuiser toute la substance de mon idée, et me donne l’illusion que la solution trouvée est celle que tout le monde eût choisie. Pour moi, l’important est d’approfondir, non d’inventer des formes nouvelles »...
Biographie par Grégoire Hetzel, à retrouver sur le site du compositeur.