Concert - Haute-Garonne - Pop expérimentale, Rock, Jazz, Free Jazz
Aquaserge ©Baptiste Dété / Mortelle Randonnée ©Michel Mahandran
En partenariat avec Freddy Morezon P.R.O.D
Aquaserge et Mortelle Randonnée : deux groupes qui explosent les frontières de la pop avant-gardiste, du rock psychédélique et du jazz déjanté. Hautement recommandé, terriblement excitant : une double release-party exceptionnelle au Metronum !
★ Audrey Ginestet, chant, basse et guitare / Benjamin Glibert, chant, guitare et claviers / Olivier Kelchtermans, saxophones, claviers et chant / Manon Glibert, clarinettes et chant / Julien Chamla, batterie, percussions et chant
Partout, c’est l’incendie. Tout s’embrase et Aquaserge chante et danse sur les braises d’un monde scruté dans le rétroviseur. Un monde hyper connecté mais amnésique de ses émotions premières. La fin de l’économie, septième album du groupe est un poème écologique où présent et passé se télescopent. Un album résolument rock, quoique strié d’électronique, de chansons pop expérimentales et d’archives sonores. On y croise les traces de l’Oulipo, de Dada et du jazz libre, les fantômes d’Ennio Morricone, Walter Benjamin ou Duras, les ombres portées de Brigitte Fontaine et Kim Gordon. Mélanges audacieux et enthousiasmants dont le collectif Aquaserge est coutumier, depuis ses débuts discographiques il y a une quinzaine d’années.
★ Sébastien Cirotteau, trompette, saxhorn alto, orgue, synthétiseur, chant et appeau / Andy Lévêque, saxophone alto, basse, clavier, flûte à bec, chant et appeau / Benjamin Glibert, guitare électrique, basse, clavier, percussion, chant et appeau / Clem Thomas, batterie, glockenspiel, ukulele, chant et appeau
Mortelle Randonnée se promène chez Carla Bley.
Rock pataphysique, chansons avant-pop, jazz à papa-maman, fanfare out-of-tune, entre vénération et parodie.
Mortelle Randonnée parcourt le répertoire iconoclaste et hybride de la compositrice Carla Bley. Seize membres et quatre musiciens qui jouent tout à la fois - et en même temps – les instruments de la fanfare et du power trio, des instruments jouets et quelques claviers pour réinventer les arrangements fantasques de Carla Bley.
En un déconcertant mélange des genres - hymnes funambules, cadences patarock ne s’embarrassant nullement de cohérence, structures répétitives et obsessionnelles, délire psyché-folk, chansons avant-pop - ils prennent un malin plaisir à sortir des sentiers balisés et nous chahuter dans les hors-pistes.
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Renseignement
Direction des Arts Vivants et Visuels : 05 34 45 58 30
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